Au Théâtre des Abbesses, Johanny Bert a les ailes d’un ange Les anges s’ennuient dans…
marionnettes
Une vision puissante de l’héroïne d’Ibsen par la marionnettiste norvégienne Yngvild Aspeli Tout est parti,…
Au Théâtre de l’Athénée, Valérie Lesort et Christian Hecq invitent à un voyage enchanté au…
Au Mouffetard, Claire Dancoisne donne une carapace au héros de La Métamorphose Labellisé depuis peu…
Ilka Schönbein et son Théâtre Meschugge dans un cabaret musical animalier C’est dissimulée sous le…
Le très beau texte de Daniel Keene, court, elliptique, évoque ceux qui sont partis dans des trains et ne sont pas revenus, ceux aussi qui entament aujourd’hui d’autres voyages. « Pendant un temps, on est en vie. » La disparition, l’absence, l’oubli sont au coeur de ce spectacle pudique conçu par Alexandre Haslé « avec des marionnettes ». Le marionnettiste (qui collabora avec Ilka Schönbein) n’est pas derrière elles, mais avec elles. Il manipule les poupées de chiffon, passe des masques de papier mâché aux accessoires, aux objets, telle cette valise renfermant la maison d’Hanna.