Mois : juin 2019

Madame Favart

l’Opéra-Comique sort de l’oubli un opéra peu connu du compositeur, écrit deux ans avant sa mort. Alors qu’il est au creux de la vague, Madame Favart lui redonnera le goût du succès. L’intrigue est inspirée de l’histoire de Charles-Simon Favart, auteur d’opéras-comiques populaires qui épousa, en 1745, l’actrice Melle Duronceray.

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Les Prix de la critique

Christophe Honoré était présent pour recevoir celui de Meilleur spectacle théâtral de l’année pour Les Idoles, créé au Théâtre Vidy-Lausanne et joué à l’Odéon à Paris cet hiver. Le spectacle y est à l’affiche de la saison prochaine. Simon Abkarian a reçu le Prix de la Meilleure création d’une pièce en langue française pour Au-delà des ténèbres, joué au Théâtre du Soleil, Insoutenables longues étreintes, mis en scène par Galin Stoev, a reçu le Prix Georges-Lerminier et La reprise, de Milo Rau celui du Meilleur spectacle étranger.

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La Grande Petite Mireille

Grâce à Mireille, le swing fait son apparition dans la chanson française. Charles Trenet n’aura plus qu’à creuser le sillon… Il n’est qu’à entendre Papa n’a pas voulu, Quand un vicomte, interprété par Chevalier, ou des pépites délicieusement désuètes que l’on redécouvre avec bonheur comme Pourquoi t’es-tu teinte Philaminte ? ou encore Y a qu’le 27 qui m’intéresse, que Mireille interprétait elle-même de sa voix fraiche et acidulée. Le spectacle mis en scène par Hervé Devolder souligne son apport artistique essentiel dans le domaine de la chanson. Il évoque aussi en arrière-plan son caractère bien trempé et sa vie personnelle, le couple singulier formé avec Emmanuel Berl.

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Mam’zelle Nitouche

Ainsi l’intrigue multiplie les jeux de doubles : Célestin, organiste dans un couvent, écrit de la musique légère en cachette sous le nom de Floridor, la jeune couventine Denise de Flavigny rêve de jouer la comédie et se transforme en Mam’zelle Nitouche quand l’occasion se présente, tandis que le lieutenant des dragons Fernand est déguisé en vieil inspecteur…

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Centaures, quand nous étions enfants

Pour dire l’histoire de ce duo, Fabrice Melquiot entremêle récits autobiographiques, rêveries, mythologies et enfance. Sur scène, les deux artistes centaures évoluent, Manolo sur Indra et Camille sur Gaïa, suscitant des images à la beauté en mouvement, saisissante.

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