Patrick Pineau emballe la pièce de Nicolaï Erdman dans un rythme échevelé. Une réussite totale…
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Read More →A l’Athénée, Marie Fortuit dans le sillage de la grande Anne Sylvestre Des chaises, un…
Read More →Au Poche Montparnasse, Hervé Briaux adapte l’oeuvre majeure de Montaigne. Reprise d’un succès. Sous l’immensité…
Read More →Reprise aux Ateliers Berthier de la mise en scène par Stéphane Braunschweig de la pièce…
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Définie par son auteur, Tennessee Williams, comme une « pièce de la mémoire », La ménagerie de verre est largement autobiographique, qui s’inspire de son histoire familiale dans les années 30 et témoigne de son amour pour sa sœur. Ecrite en 1944, elle marqua les débuts de sa carrière. Tout se passe dans la mémoire, donc. Le narrateur présente « la vérité sous la forme séduisante d’une illusion » et remonte le cours du passé. De la pièce (traduction d’Isabelle Famchon), Ivo van Hove retient essentiellement son réalisme, et la réduit au prosaïsme des situations et des personnages.
Au Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, Chloé Dabert met en scène une pièce de Lucy Kirkwood Lucy Kirkwood. Son nom a fait son entrée sur la scène française cet automne, avec Les…
La pièce mise en scène par Johanna Boyé, découverte lors du Festival off d’Avignon 2019,…
Au Poche Montparnasse, Patrick Sommier compose un spectacle intimiste à partir de nouvelles de Tchekhov Patrick Sommier connaît bien le théâtre russe pour avoir travaillé avec Lev Dodine (qu’il a fait découvrir…
La biennale de la création contemporaine en Val-de-Marne débute le 8 novembre Tous les deux…
La dernière création de Bartabas emporte vers la terre irlandaise au son de ballades ancestrales…
Wajdi Mouawad signe une fresque comme il sait les dessiner ouvrant sur de multiples pistes…
Au Mouffetard, Claire Dancoisne donne une carapace au héros de La Métamorphose Labellisé depuis peu…
Au Petit Saint-Martin, Catherine Hiegel donne une leçon de savoir-vivre revue par Jean-Luc Lagarce Quand…
Jean-Yves Ruf fait à nouveau entendre la parole d’Antonio Tarantino, avec Paul Minthe C’est un…
Comme un roman-photo avec ses teintes chromo, un jeu qui fleure parfois l’amateurisme et donne un côté naïf, une fraîcheur au mélo, un rythme alangui, le spectacle de Caroline Guiela Nguyen a tout pour flatter l’œil et l’oreille. Il fait beaucoup plus que cela. Il envoie un direct au cœur par l’humanité profonde de ses thèmes essentiels : l’exil, le déracinement, la peur du retour, l’oubli de la langue maternelle, l’incompréhension entre les générations.