Sur la scène du Rond-Point, de voltige en voltige avec la compagnie Akoreacro Quand la…
Read More →Laurent Pelly met en scène ces scènes de la vie d’opéra vues par Carlo Goldoni…
Read More →Patrick Pineau emballe la pièce de Nicolaï Erdman dans un rythme échevelé. Une réussite totale…
Read More →Le comédien Nicolas Bouchaud reprend son spectacle créé en 2010. Un hommage au critique Serge…
Read More →A l’Athénée, Marie Fortuit dans le sillage de la grande Anne Sylvestre Des chaises, un…
Read More →Au Poche Montparnasse, Hervé Briaux adapte l’oeuvre majeure de Montaigne. Reprise d’un succès. Sous l’immensité…
Read More →Reprise aux Ateliers Berthier de la mise en scène par Stéphane Braunschweig de la pièce…
Read More →Hervé Pierre et Clotilde Mollet jouent Moman de Jean-Claude Grumberg. Une lumineuse rencontre Pourquoi les…
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Read More →Jean-Yves Ruf fait à nouveau entendre la parole d’Antonio Tarantino, avec Paul Minthe C’est un…
Comme un roman-photo avec ses teintes chromo, un jeu qui fleure parfois l’amateurisme et donne un côté naïf, une fraîcheur au mélo, un rythme alangui, le spectacle de Caroline Guiela Nguyen a tout pour flatter l’œil et l’oreille. Il fait beaucoup plus que cela. Il envoie un direct au cœur par l’humanité profonde de ses thèmes essentiels : l’exil, le déracinement, la peur du retour, l’oubli de la langue maternelle, l’incompréhension entre les générations.
A destination du jeune public, la création de Johanny Bert et Yann Raballand révèle des histoires de mousse enchanteresses. Pour ce court spectacle à l’attention des enfants, le metteur en scène Johanny…
Roland Auzet met en scène l’adaptation par Pascale Ferran du poème document de Luo Ying …
Entre répertoire et création, la nouvelle saison de concerts a débuté à l’Auditorium du Louvre Les moments musicaux au programme de l’Auditorium pour la saison 2022-2023 vont faire écho à la programmation…
Au Rond-Point, David Murgia interprète le deuxième volet de la fable politique d’Ascanio Celestini. Une…
Au Domaine de Chaumont-sur-Loire, la quatrième édition de la manifestation d’art floral occupe le château…
Créé au dernier Festival d’Avignon, le spectacle d’Igor Mendjisky est en tournée. Un conte pour…
A la Colline, Anouk Grinberg fait entendre la voix de ceux que la société a…
Au Théatre de l’Atelier, trois grands comédiens dans la pièce d’une auteure britannique à découvrir…
C’est tout le propos de la pièce de Brecht, écrite en exil au Danemark en 1938 et retravaillée jusqu’en 1954, alors que l’écrivain, émigré à Hollywood en 1941, avait rejoint l’Allemagne. Pour Eric Ruf qui la met en scène, la pièce pose l’équation entre le refus de l’obscurantisme religieux et le doute fondamental posé sur la finitude de la science. De quoi interroger notre présent qui multiplie les inventions et les fake news.
« Tu as toujours été morte ». Les mots s’adressent à celle qu’Annie Ernaux n’a jamais connue : une fille née avant elle, morte à six ans de la diphtérie, deux ans avant sa naissance. Sa sœur, donc, dont elle n’a découvert l’existence qu’incidemment, en entendant une conversation de sa mère, et ces mots : « Elle était plus gentille que celle-là » qui s’inscriront dans sa mémoire et marqueront sa destinée. Assise à une table-bureau, Marianne Basler s’adresse à cette sœur. La lettre est difficile à écrire, elle traque le mot juste, froisse les feuilles de papier quand elle n’y arrive pas.