A la Maison Jean Vilar, des premières aux dernières années du Festival Après deux ans…
Expositions
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Les voyages de Marc Riboud ne répondent pas à une commande, il les choisit mais ils répondent souvent à l’actualité. Ainsi, dans ces années d’après-guerre, il commence par la Yougoslavie, avant d’aller de plus en plus loin vers l’Est. Après la Turquie, l’Iran, le Pakistan, l’Inde, où il reste un an, ses pas le conduisent au Népal, puis en Chine. L’Asie est parmi les destinations privilégiées,
Vendues puis oubliées, perdues ou détruites, par accident ou par leur auteur, ces œuvres dont le sort est inconnu ont chacune leur histoire. Méconnues, inédites, elles ressurgissent aujourd’hui du passé, et témoignent des années d’apprentissage du sculpteur et de ses périodes cubiste, puis surréaliste. Dans cette période de recherche artistique, Giacometti expérimente beaucoup et détruit plusieurs œuvres dont il conserve pourtant des traces.
A partir des 1 300 pièces issues du fonds des textiles de la grande créatrice Lee Young-hee (1936-2018), le Musée lui consacre une rétrospective retraçant le parcours de cette ambassadrice du hanbok, le costume traditionnel de la Corée, composé d’une veste associée à une jupe pour les femmes ou un pantalon pour les hommes. Son travail de « recréation » poursuit un double objectif de beauté et de fidélité historique dans le choix des matériaux, des techniques, couleurs et motifs.