Au Lucernaire, Cécile Garcia-Fogel met en scène les héroïnes de Claire Bretécher Même pas mortes !…
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Jean-Yves Ruf fait à nouveau entendre la parole d’Antonio Tarantino, avec Paul Minthe C’est un…
Comme un roman-photo avec ses teintes chromo, un jeu qui fleure parfois l’amateurisme et donne un côté naïf, une fraîcheur au mélo, un rythme alangui, le spectacle de Caroline Guiela Nguyen a tout pour flatter l’œil et l’oreille. Il fait beaucoup plus que cela. Il envoie un direct au cœur par l’humanité profonde de ses thèmes essentiels : l’exil, le déracinement, la peur du retour, l’oubli de la langue maternelle, l’incompréhension entre les générations.
A destination du jeune public, la création de Johanny Bert et Yann Raballand révèle des…
Roland Auzet met en scène l’adaptation par Pascale Ferran du poème document de Luo Ying Un retour sur les années sanglantes de la Révolution culturelle L’identité européenne était au cœur de son…
Entre répertoire et création, la nouvelle saison de concerts a débuté à l’Auditorium du Louvre…
Au Rond-Point, David Murgia interprète le deuxième volet de la fable politique d’Ascanio Celestini. Une…
Au Domaine de Chaumont-sur-Loire, la quatrième édition de la manifestation d’art floral occupe le château…
Créé au dernier Festival d’Avignon, le spectacle d’Igor Mendjisky est en tournée. Un conte pour…
A la Colline, Anouk Grinberg fait entendre la voix de ceux que la société a…
Au Théatre de l’Atelier, trois grands comédiens dans la pièce d’une auteure britannique à découvrir…
C’est tout le propos de la pièce de Brecht, écrite en exil au Danemark en 1938 et retravaillée jusqu’en 1954, alors que l’écrivain, émigré à Hollywood en 1941, avait rejoint l’Allemagne. Pour Eric Ruf qui la met en scène, la pièce pose l’équation entre le refus de l’obscurantisme religieux et le doute fondamental posé sur la finitude de la science. De quoi interroger notre présent qui multiplie les inventions et les fake news.
« Tu as toujours été morte ». Les mots s’adressent à celle qu’Annie Ernaux n’a jamais connue : une fille née avant elle, morte à six ans de la diphtérie, deux ans avant sa naissance. Sa sœur, donc, dont elle n’a découvert l’existence qu’incidemment, en entendant une conversation de sa mère, et ces mots : « Elle était plus gentille que celle-là » qui s’inscriront dans sa mémoire et marqueront sa destinée. Assise à une table-bureau, Marianne Basler s’adresse à cette sœur. La lettre est difficile à écrire, elle traque le mot juste, froisse les feuilles de papier quand elle n’y arrive pas.