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Dans le hall d’un hôtel de province, donc, un couple se retrouve après s’être quitté. Trois ans ou à peu près qu’ils ne se sont pas vus, parlé. Ils reviennent sur les lieux où ils ont vécu ensemble, pour le prononcement de leur divorce. C’est le soir, chacun doit repartir de son côté le lendemain matin. Clôture d’un amour version Duras. «Rien n’est plus fini que ça de toutes les choses finies ».
Né en 1972, l’auteur italien est devenu une figure majeure du théâtre-récit, dans la lignée de Dario Fo, associant l’art du conteur à un sens aigu de la dramaturgie. Engagé, il donne la voix aux oubliés, aux précaires, aux prolétaires de tous les pays. Comme ses autres textes, Laïka accuse les injustices, les désastres du système capitalistes, les catastrophes humanitaires. Texte et rythme sont indissociables et font naître du théâtre. A cet exercice, David Murgia est prodigieux.
Qu’est-ce qui distingue une pièce de boulevard d’une autre ? Beaucoup plus que les ressorts de l’intrigue, la qualité de son écriture. Et celle de Sébastien Blanc et Nicolas Poiret est particulièrement élégante, précise, vive, sans jamais céder à la facilité, et encore moins à la vulgarité. Le divertissement est total, mené sur un rythme emballé et mis en scène avec entrain par Jean-Luc Moreau.
Plantée sur la scène, immobile, Pauline Bayle est clouée au sol, comme nous le sommes sur nos sièges. La comédienne, par ailleurs talentueuse metteure en scène (elle a obtenu le dernier prix Jean-Jacques de la révélation théâtrale pour sa mise en scène de Iliade et Odyssée), subjugue par l’intensité de son interprétation.
Grande pièce sur le pouvoir, tragédie que Racine dit avoir « le plus travaillée », Britannicus fascine autant par son intrigue que par la qualité de ses vers, sa noirceur délivrée dans une langue à la pureté incandescente.
Dans le rôle d’Orphée, fine silhouette androgyne, la sensibilité et la profondeur de voix de Marianne Crebassa bouleversent. L’interprétation d’Hélène Guilmette, sensible Eurydice, de Lea Desandre, Amour engagée, reconvertie avec succès aux arts du cirque, ainsi que la direction musicale de Raphaël Pichon, les chœurs de l’Ensemble Pygmalion auxquels viennent s’ajouter des danseurs et des circassiens, tout est parfaitement réuni pour faire de cette nouvelle production de l’Opéra Comique (associé à d’autres maisons d’opéra), une incontestable et superbe réussite.
la Divine, Greta Garbo, est face à Winston Churchill. De cette rencontre qui a réellement eu lieu, mais dont on ne sait à peu près rien, Isabelle Le Nouvel a puisé la matière d’un texte original appuyé sur des documents et la littérature consacrée à chacun de ces mythes.
La mise en scène de Jean-Pierre Vincent donne toute sa dimension à la comédie, qui fait rire à travers la farce en même temps qu’elle dresse un état des lieux de la société française de l’époque. Et il met singulièrement en relief les caractères féminins,
Depuis son Molière de la Révélation en 1993 pour Les enfants du silence, la comédienne a mûri, gagné en assurance, elle ose l’impertinence, elle peut tout. Même danser et chanter, en rythme avec la musique, alors qu’elle n’entend rien, et ne parle pas davantage.
Réunis pour la première fois sur scène, Pierre Arditi et Jacques Weber jouent Molière sous…
Pour sa première mise en scène à la Comédie-Française, Thomas Ostermeier fait de la comédie…
Derrière Kafka, Lupa se fait lanceur d’alerte sur la fragilité de nos démocraties. Court en filigrane, tout au long de la pièce, la corruption des fonctionnaires, l’absurdité des lois que l’on modifie dans le seul but d’obéir à la règle du changement, sans se soucier de l’individu.
Après Lettre d’une inconnue, Christophe Lidon retrouve le « monde d’hier » de Stefan Zweig avec La légende d’une vie, pièce méconnue en France de l’auteur autrichien, écrite après la Première Guerre mondiale. Où l’on retrouve ses thèmes chers comme les clivages sociaux, le culte du secret, la constitution de l’identité, l’héritage spirituel…