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Dans le rôle d’Orphée, fine silhouette androgyne, la sensibilité et la profondeur de voix de Marianne Crebassa bouleversent. L’interprétation d’Hélène Guilmette, sensible Eurydice, de Lea Desandre, Amour engagée, reconvertie avec succès aux arts du cirque, ainsi que la direction musicale de Raphaël Pichon, les chœurs de l’Ensemble Pygmalion auxquels viennent s’ajouter des danseurs et des circassiens, tout est parfaitement réuni pour faire de cette nouvelle production de l’Opéra Comique (associé à d’autres maisons d’opéra), une incontestable et superbe réussite.
la Divine, Greta Garbo, est face à Winston Churchill. De cette rencontre qui a réellement eu lieu, mais dont on ne sait à peu près rien, Isabelle Le Nouvel a puisé la matière d’un texte original appuyé sur des documents et la littérature consacrée à chacun de ces mythes.
La mise en scène de Jean-Pierre Vincent donne toute sa dimension à la comédie, qui fait rire à travers la farce en même temps qu’elle dresse un état des lieux de la société française de l’époque. Et il met singulièrement en relief les caractères féminins,
Depuis son Molière de la Révélation en 1993 pour Les enfants du silence, la comédienne a mûri, gagné en assurance, elle ose l’impertinence, elle peut tout. Même danser et chanter, en rythme avec la musique, alors qu’elle n’entend rien, et ne parle pas davantage.
Réunis pour la première fois sur scène, Pierre Arditi et Jacques Weber jouent Molière sous…
Pour sa première mise en scène à la Comédie-Française, Thomas Ostermeier fait de la comédie…
Derrière Kafka, Lupa se fait lanceur d’alerte sur la fragilité de nos démocraties. Court en filigrane, tout au long de la pièce, la corruption des fonctionnaires, l’absurdité des lois que l’on modifie dans le seul but d’obéir à la règle du changement, sans se soucier de l’individu.
Après Lettre d’une inconnue, Christophe Lidon retrouve le « monde d’hier » de Stefan Zweig avec La légende d’une vie, pièce méconnue en France de l’auteur autrichien, écrite après la Première Guerre mondiale. Où l’on retrouve ses thèmes chers comme les clivages sociaux, le culte du secret, la constitution de l’identité, l’héritage spirituel…
Spectacle choc du dernier Festival d’Avignon, une confrontation entre la représentation théâtrale et le réel. Dans cette première partie de la série « Histoire(s) du théâtre », Milo Rau, metteur en scène et directeur du Théâtre national de Gand, braque un coup de projecteur puissant et dérangeant sur la barbarie humaine, à travers la reconstitution d’un fait divers atroce : la torture et le meurtre de Ihsane Jarfi, un jeune homosexuel, en 2012, à Liège.
L’histoire d’Infidèles est banale : Marianne, comédienne, épouse de Marcus, un chef d’orchestre célèbre, entame une liaison avec David, un ami du couple, et délaisse sa fille Isabelle. Jusqu’à ce que le mot « divorce » soit prononcé. Ce pourrait être une comédie, un vaudeville, un drame réaliste… Mais non, pas avec les tg Stan sur le plateau qui vont mettre de la vie dans le théâtre et du théâtre dans ce qu’ils jouent comme étant la vie. Bergman puisait son inspiration dans sa propre vie, les interprètes jouent avec les frontières entre vie et théâtre.
Quels sont-ils, ces « si tendres liens » ? Ceux qui unissent une mère et sa fille et ne s’effacent jamais. Loleh Bellon construit sa pièce comme une boucle.
Le circassien Yoann Bourgeois a ouvert la programmation avec un spectacle spécialement conçu pour l’occasion et intitulé Scala, qui joue avec la mécanique des objets, « une pièce fragile courant à toute allure le long d’un fil continu ».
Fidèles au rendez-vous du Festival d’automne, les comédiens du tg Stan ont, dès le 10 septembre, inauguré la 47ème édition, avec Infidèles, un scénario d’Ingmar Bergman, joué au Théâtre de la Bastille (jusqu’au 28 septembre).