Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
Read More →
Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
Read More →Au Théâtre de l’Odéon, le vaudeville de Georges Feydeau mis en scène par Stanislas Nordey…
Read More →Au Théâtre du Rond-Point, le dernier spectacle de Martin Zimmermann Au début, tout est…
Read More →Au Musée d’Orsay, en marge de l’exposition L’art est dans la rue, un concert…
Read More →Pièces des débuts de Tchekhov, qualifiées de « plaisanteries » par l’auteur, elles ont pour personnages des petits propriétaires terriens. L’argent, la moisson, sont au centre des enjeux et des préoccupations. Dans La demande en mariage, le prétendant ne supportant pas de voir sa future famille s’arroger la propriété d’un pré, ne parvient pas à faire sa demande. L’argent est encore présent dans L’ours qui voit un créancier s’installer chez une jeune veuve en attendant de recouvrer son dû.
Read More →Au Théâtre de la Porte Saint-Martin, la mise en scène par Alain Françon de…
Read More →A La Scala, Marie Torreton fait entendre la voix de Charlotte Delbo et la…
Read More →Dans un théâtre performatif énergique et puissant, Julie Berès met à mal le modèle masculin.…
Read More →A l’Athénée, Valérie Lesort et les Frivolités parisiennes donnent un coup de jeune à…
Read More →Adaptée du roman écrit par Jules Verne en 1872, Le Tour du monde en 80 jours, comédie écrite en 2006 par deux amis, Sébastien Azzopardi et Sacha Danino, jouée d’abord au Lucernaire, pendant un an puis au Café de la Gare, cinq ans et demi et ensuite au Splendid, trois ans et demi, totalisent 3 000 représentations et plus d’un million de spectateurs.
Pour Stéphane Pouderoux qui s’était mis dans la peau de Bob Dylan dans Comme une pierre qui, cosigné avec Marie Rémond, le spectacle aurait pu s’appeler Chacun cherche son Serge. Et chacun le trouve : ici le provocateur, le subversif irréductible, le scandaleux, là le timide, le tendre, l’artiste complexé, blessé…
Seul contre tous, Thomas Stockmann, tel un lanceur d’alerte d’aujourd’hui, devient un bouc émissaire, découvre la versatilité de la foule, les lâchetés, les retournements et les pressions politiques. Qui est l’ennemi du peuple ? « La majorité a le pouvoir mais elle n’a pas raison », se défend le médecin.
Cinq comédiens –trois garçons et deux filles- empoigne l’Iliade et jouent tous les personnages, échangeant leurs rôles dans un engagement physique total et avec une fougue qui emporte la force du récit. Dans Odyssée, un simple socle de bois occupe la scène. Des chaises l’entourent qui deviendront plus tard les prétendants. Le récit des aventures d’Ulysse est conté à plusieurs voix : la rencontre avec le Cyclope dans sa grotte, le chant des sirènes… S
La proposition est ambitieuse, qui voit un metteur en scène changeant d’angle de vue, remontant sans cesse son travail. Le mécanisme se répète, alourdit l’histoire déjà alambiquée. Car le héros, Hippolyte Dombres va aller de découverte en surprise sur le passé de sa mère, révéler des secrets enfouis. Mais l’auteur accumule les clichés, multiplie les histoires dans l’histoire,
C’est à l’Opéra Comique que Manon a été créé, en 1884, et c’est là qu’est présentée la mise en scène d’Olivier Py, après Genève en 2016 et plus récemment, Bordeaux. Olivier Py a accentué sa mise en scène sur la prostitution et transformé l’auberge en maison de plaisirs, appuyant dès le début, la dimension érotique de Manon. La scénographie de Pierre-André Weitz dessine une boîte de cubes mobiles devenant tour à tour quartier, maison de rendez-vous, cabaret, église…
Cyril Teste a choisi d’adapter le film de Cassavetes Opening night (1977) avec, dans le rôle tenu au cinéma par l’actrice fétiche de Cassavetes, Gena Rowlands, exceptionnelle de présence et d’intensité… Isabelle Adjani. « Un public de théâtre assiste à un tournage de cinéma, et le cinéma va absorber l’énergie du spectateur du théâtre pour s’adresser à un public de cinéma… »
2 septembre 2001, les tours jumelles sont en cendres, le ciel est plombé de fumées, de poussières. Dans un immeuble en face, un couple contemple l’apocalypse. Lui aurait dû être à son travail, dans l’une des tours mais il était allé chez sa maîtresse, qui est aussi sa supérieure hiérarchique. Son téléphone n’arrête pas de sonner, ses proches s’inquiètent. Il ne répond pas. Pourquoi ne pas profiter du chaos pour changer de vie, disparaître ?
En liant Electre et Oreste (413 et 409 av. J.C.), le metteur en scène flamand traque la violence et accélère le thème de la radicalisation à travers la figure d’Electre, désireuse de venger son père, Agamemnon, assassiné à son retour de la guerre de Troie, par sa femme Clytemnestre et Egisthe, son amant. Après un exil de sept années, Oreste, le frère d’Electre, revient à Argos. Pour les deux enfants, la vengeance est en marche. Jusqu’au meurtre ultime, le matricide, accompli par Oreste.
Le texte de Michel Vinaver, L’objecteur, a inspiré à la compagnie Théâtre Déplié et à son metteur en scène Adrien Béal un spectacle basé sur des improvisations qui questionne l’idée de la place du texte et de la représentation. Joué dans un espace quadri-frontal qui intègre les spectateurs, il rebondit sans cesse,
Ecrite en 1941, Le désir attrapé par la queue a été jouée en 1944, au lendemain de la mort de Max Jacob dans les camps. La photo prise par Brassaï le 16 juin 1944 dans l’atelier de Picasso de la rue des Grands-Augustins, immortalise les participants à la lecture de la pièce, le 19 mars dans l’appartement de Michel Leiris, tous faisant partie de l’intelligentsia parisienne de l’époque : Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, Jacques Lacan, Albert Camus, Leiris,…
Très beau prélude au concert événement qui réunissait, au Conservatoire Darius Milhaud, en exclusivité mondiale, des artistes prestigieux autour de Renaud Capuçon : Gérard Caussé, Gautier Capuçon, Edgar Moreau, Nicolas Angelich, Guillaume Chilemme, Adrien La Marca, Raphaëlle Moreau dans l’exécution des quintettes à cordes n° 1 et 2 dont on attend avec impatience un enregistrement.
Après des spectacles au comique burlesque, comme Cocorico, Jungles ou Fair-play, entre autres, Patrice Thibaud invite dans Welcome « le principe de toute vie » : la confrontation avec l’inattendu de la mort. Si le sujet est grave, Patrice Thibaud le traite avec légèreté, tendresse et poésie. Il faut le voir, chapeau pointu sur la tête, mimer une naissance, une croissance, une vie…
C’est une scène de L’Allemagne en automne, film collectif de 1977, à l’époque de la bande à Baader, rejouée ici, en rappel. Ce faisant, Falk Richter apostrophe l’Europe d’aujourd’hui, pointe les peurs, accuse les replis et dresse un état des lieux de nos démocraties, désolant. Son texte, écrit au jour le jour, en fonction de l’actualité, passe en revue Angela Merkel, « l’accueil » des réfugiés, les extrémismes, les violences commises à Cologne sur les femmes…
Pendant cinq jours, aux Déchargeurs, on peut entendre et découvrir la poésie d’Antoine Vitez mêlée à celle de ses amis poètes, connus ou aimés. Accompagnés du pianiste Mico Nissim, neuf interprètes prêtent leur voix pour faire résonner celle des poètes aimés du metteur en scène.