A Avignon, la Maison Jean Vilar inaugure le 5 juillet une exposition permanente Lieu…
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Read More →Au Théâtre de Poche, une nouvelle de Tolstoï interprétée par Anne Richard Lorsqu’il écrit ce…
Read More →A travers l’histoire de trois pianistes, Jean-François Sivadier signe une pièce emballante sur l’art…
Read More →Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
Read More →Au Théâtre de l’Odéon, le vaudeville de Georges Feydeau mis en scène par Stanislas Nordey…
Read More →Au Théâtre du Rond-Point, le dernier spectacle de Martin Zimmermann Au début, tout est…
Read More →Au Musée d’Orsay, en marge de l’exposition L’art est dans la rue, un concert…
Read More →Pièces des débuts de Tchekhov, qualifiées de « plaisanteries » par l’auteur, elles ont pour personnages des petits propriétaires terriens. L’argent, la moisson, sont au centre des enjeux et des préoccupations. Dans La demande en mariage, le prétendant ne supportant pas de voir sa future famille s’arroger la propriété d’un pré, ne parvient pas à faire sa demande. L’argent est encore présent dans L’ours qui voit un créancier s’installer chez une jeune veuve en attendant de recouvrer son dû.
Read More →Au Théâtre de la Porte Saint-Martin, la mise en scène par Alain Françon de…
Read More →A La Scala, Marie Torreton fait entendre la voix de Charlotte Delbo et la…
Read More →Fleuron de la culture russe, le Théâtre Vakhtangov est né en 1920, fondé par Evgeny Vakhtangov, un disciple dissident du célèbre Konstantin Stanislavski, dans un hôtel particulier du XIXe siècle au cœur du Moscou historique. Depuis 2007, cette institution a trouvé un nouvel essor, sous la direction artistique de Rimas Tuminas, metteur en scène lituanien.
Devenu Centre national d’art et essai, le Lucernaire est repris en 2004 par les éditions l’Harmattan, il abrite trois salles de théâtre, trois salles de cinéma, une librairie, une galerie, une école d’art dramatique, un bar et un restaurant. Vivier de création apprécié des amateurs de théâtre, le lieu où rôde toujours la présence de Laurent Terzieff, attire chaque année de nombreux spectateurs (135 000 la saison dernière).
Munis d’un casque HF, les spectateurs réunis dans le Hall Saint-Martin de la Gare de l’Est sont prêts pour partir à l’aventure, dans les pas du conteur Abbi Patrix. Où est-il ? Le voici qui les interpelle, du haut d’une galerie. Attention, vous êtes prévenus : ce que l’on entend n’est pas ce que l’on voit. Et Patrix de se mettre dans la peau de Peer Gynt, le héros d’Ibsen, menteur invétéré à la recherche de sa propre identité («être soi-même » revient comme un leitmotiv), de l’amour de Solveig et de trolls.
Le style narratif du début acquiert au fil du récit une dramaturgie, une théâtralité soulignée par l’adaptation de Joël Jouanneau et Sandrine Lanno. Les spectateurs se trouvent tantôt dans la position des élèves tantôt faisant partie des membres de la commission d’enquête. L’analyse de l’incident, poussée dans ses extrêmes par le censeur Saint-Exupéry, vire au comique, à l’absurde, au tragique.
La question de l’art contemporain n’est pour Reza qu’un prétexte habile pour observer avec acuité et une certaine ironie les relations des trois hommes, leur malaise, leur désarroi. Comme chez Nathalie Sarraute, la question de la fragilité de l’amitié, de sa déconstruction est fascinante.
Dans Radio Live, Aurélie Charon et Caroline Gillet livrent une version scénique de leurs émissions de radio. Stallone de Fabien Gorgeart raconte l’obsession d’une femme pour Rocky Balboa (au Centquatre) et Cukoo de Jaha Koo donne la parole à trois autocuiseurs à riz pour retracer vingt ans d’histoire sud-coréenne.
La fin de l’homme rouge fait résonner les voix des témoins brisés de l’époque soviétique, voix suppliciées des goulags, voix des survivants et des bourreaux, voix encore des orphelins d’utopie qui ont cru que « ceux qui ne sont rien deviendraient tout. » L’auteure aime les voix humaines solitaires. Cette passion est partagée, relayée par Emmanuel Meirieu, pour qui le théâtre donne une présence, une vérité au témoignage. «
Hommage au cirque, les 5es Hurlants débute par une série de tentatives, de pertes d’équilibre, et de danse, parfaitement maitrisées par Loïc Leviel qui recommence, encore et encore, remonte sur le fil, sans jamais se décourager ni s’arrêter, comme l’impose la discipline des circassiens.
Pour son édition 2019, le festival parisien poursuit dans ce qui fait sa marque et son originalité : le mélange des genres, la mixité des inspirations et la découverte de lieux insolites de la capitale. Pour la soirée d’ouverture, le 12 juillet, une seule proposition : une rencontre entre Mozart et la danse hip hop, sur les partitions de Don Giovanni et du Requiem avec dix musiciens de l’Orchestre des Champs Elysées (également le 13).
Homme encadré sur fond blanc est un spectacle intemporel, classique du genre burlesque décliné par les artistes du muet comme Buster Keaton ou Jacques Tati. Récompensé par de nombreux prix, il n’avait pas été joué sur une scène parisienne avant cet été. Son auteur, le franco-suisse Pierric Tenthorey, conjugue l’art de la comédie, de la mise en scène et de la magie. Il cultive un humour discret, un comique de répétition inspiré de Tex Avery,
En fond musical, des notes de piano sautillantes ramènent au temps des films muets et du burlesque américain. Ici, pas de machineries compliquées. Avec peu d’accessoires, les plus élémentaires, Jamie Adkins présente des numéros simples, épurés, drôles et poétiques. Ses inventions, il les réserve à l’utilisation des objets, par exemple pour établir un échange avec le public, il propose un lancer d’oranges pas banal, avec réception directe sur une fourchette entre ses dents.
l’Opéra-Comique sort de l’oubli un opéra peu connu du compositeur, écrit deux ans avant sa mort. Alors qu’il est au creux de la vague, Madame Favart lui redonnera le goût du succès. L’intrigue est inspirée de l’histoire de Charles-Simon Favart, auteur d’opéras-comiques populaires qui épousa, en 1745, l’actrice Melle Duronceray.
Christophe Honoré était présent pour recevoir celui de Meilleur spectacle théâtral de l’année pour Les Idoles, créé au Théâtre Vidy-Lausanne et joué à l’Odéon à Paris cet hiver. Le spectacle y est à l’affiche de la saison prochaine. Simon Abkarian a reçu le Prix de la Meilleure création d’une pièce en langue française pour Au-delà des ténèbres, joué au Théâtre du Soleil, Insoutenables longues étreintes, mis en scène par Galin Stoev, a reçu le Prix Georges-Lerminier et La reprise, de Milo Rau celui du Meilleur spectacle étranger.
Grâce à Mireille, le swing fait son apparition dans la chanson française. Charles Trenet n’aura plus qu’à creuser le sillon… Il n’est qu’à entendre Papa n’a pas voulu, Quand un vicomte, interprété par Chevalier, ou des pépites délicieusement désuètes que l’on redécouvre avec bonheur comme Pourquoi t’es-tu teinte Philaminte ? ou encore Y a qu’le 27 qui m’intéresse, que Mireille interprétait elle-même de sa voix fraiche et acidulée. Le spectacle mis en scène par Hervé Devolder souligne son apport artistique essentiel dans le domaine de la chanson. Il évoque aussi en arrière-plan son caractère bien trempé et sa vie personnelle, le couple singulier formé avec Emmanuel Berl.
Ainsi l’intrigue multiplie les jeux de doubles : Célestin, organiste dans un couvent, écrit de la musique légère en cachette sous le nom de Floridor, la jeune couventine Denise de Flavigny rêve de jouer la comédie et se transforme en Mam’zelle Nitouche quand l’occasion se présente, tandis que le lieutenant des dragons Fernand est déguisé en vieil inspecteur…