A La Pépinière, reprise du spectacle de Christine Murillo mis en scène par Charles…
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Read More →Au Poche Montparnasse, reprise de la comédie de Corneille malicieusement mise en scène par…
Read More →A Avignon, la Maison Jean Vilar inaugure le 5 juillet une exposition permanente Lieu…
Read More →Au Théâtre de Poche, une nouvelle de Tolstoï interprétée par Anne Richard Lorsqu’il écrit ce…
Read More →A travers l’histoire de trois pianistes, Jean-François Sivadier signe une pièce emballante sur l’art…
Read More →Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
Read More →Au Théâtre de l’Odéon, le vaudeville de Georges Feydeau mis en scène par Stanislas Nordey…
Read More →Au Théâtre du Rond-Point, le dernier spectacle de Martin Zimmermann Au début, tout est…
Read More →Au Musée d’Orsay, en marge de l’exposition L’art est dans la rue, un concert…
Read More →Pièces des débuts de Tchekhov, qualifiées de « plaisanteries » par l’auteur, elles ont pour personnages des petits propriétaires terriens. L’argent, la moisson, sont au centre des enjeux et des préoccupations. Dans La demande en mariage, le prétendant ne supportant pas de voir sa future famille s’arroger la propriété d’un pré, ne parvient pas à faire sa demande. L’argent est encore présent dans L’ours qui voit un créancier s’installer chez une jeune veuve en attendant de recouvrer son dû.
Read More →Jean-Yves Ruf fait à nouveau entendre la parole d’Antonio Tarantino, avec Paul Minthe C’est un…
Comme un roman-photo avec ses teintes chromo, un jeu qui fleure parfois l’amateurisme et donne un côté naïf, une fraîcheur au mélo, un rythme alangui, le spectacle de Caroline Guiela Nguyen a tout pour flatter l’œil et l’oreille. Il fait beaucoup plus que cela. Il envoie un direct au cœur par l’humanité profonde de ses thèmes essentiels : l’exil, le déracinement, la peur du retour, l’oubli de la langue maternelle, l’incompréhension entre les générations.
A destination du jeune public, la création de Johanny Bert et Yann Raballand révèle des histoires de mousse enchanteresses. Pour ce court spectacle à l’attention des enfants, le metteur en scène Johanny…
Roland Auzet met en scène l’adaptation par Pascale Ferran du poème document de Luo Ying …
Entre répertoire et création, la nouvelle saison de concerts a débuté à l’Auditorium du Louvre Les moments musicaux au programme de l’Auditorium pour la saison 2022-2023 vont faire écho à la programmation…
Au Rond-Point, David Murgia interprète le deuxième volet de la fable politique d’Ascanio Celestini. Une…
Au Domaine de Chaumont-sur-Loire, la quatrième édition de la manifestation d’art floral occupe le château…
Créé au dernier Festival d’Avignon, le spectacle d’Igor Mendjisky est en tournée. Un conte pour…
A la Colline, Anouk Grinberg fait entendre la voix de ceux que la société a…
Au Théatre de l’Atelier, trois grands comédiens dans la pièce d’une auteure britannique à découvrir…
C’est tout le propos de la pièce de Brecht, écrite en exil au Danemark en 1938 et retravaillée jusqu’en 1954, alors que l’écrivain, émigré à Hollywood en 1941, avait rejoint l’Allemagne. Pour Eric Ruf qui la met en scène, la pièce pose l’équation entre le refus de l’obscurantisme religieux et le doute fondamental posé sur la finitude de la science. De quoi interroger notre présent qui multiplie les inventions et les fake news.
« Tu as toujours été morte ». Les mots s’adressent à celle qu’Annie Ernaux n’a jamais connue : une fille née avant elle, morte à six ans de la diphtérie, deux ans avant sa naissance. Sa sœur, donc, dont elle n’a découvert l’existence qu’incidemment, en entendant une conversation de sa mère, et ces mots : « Elle était plus gentille que celle-là » qui s’inscriront dans sa mémoire et marqueront sa destinée. Assise à une table-bureau, Marianne Basler s’adresse à cette sœur. La lettre est difficile à écrire, elle traque le mot juste, froisse les feuilles de papier quand elle n’y arrive pas.