A l’Athénée, Valérie Lesort et les Frivolités parisiennes donnent un coup de jeune à…
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Au Théatre de l’Atelier, trois grands comédiens dans la pièce d’une auteure britannique à découvrir…
C’est tout le propos de la pièce de Brecht, écrite en exil au Danemark en 1938 et retravaillée jusqu’en 1954, alors que l’écrivain, émigré à Hollywood en 1941, avait rejoint l’Allemagne. Pour Eric Ruf qui la met en scène, la pièce pose l’équation entre le refus de l’obscurantisme religieux et le doute fondamental posé sur la finitude de la science. De quoi interroger notre présent qui multiplie les inventions et les fake news.
« Tu as toujours été morte ». Les mots s’adressent à celle qu’Annie Ernaux n’a jamais connue : une fille née avant elle, morte à six ans de la diphtérie, deux ans avant sa naissance. Sa sœur, donc, dont elle n’a découvert l’existence qu’incidemment, en entendant une conversation de sa mère, et ces mots : « Elle était plus gentille que celle-là » qui s’inscriront dans sa mémoire et marqueront sa destinée. Assise à une table-bureau, Marianne Basler s’adresse à cette sœur. La lettre est difficile à écrire, elle traque le mot juste, froisse les feuilles de papier quand elle n’y arrive pas.
Dans le cadre du Festival d’automne, le Théâtre de la Ville-Les Abbesses présente le dernier…
Créée la saison dernière au Vieux-Colombier, la pièce de Stefano Massini mise en scène par…
Au Lucernaire, Christophe Malavoy interprète une adaptation remarquable du texte de Joseph Roth Il est…
Au Théâtre du Rond-Point, le dernier spectacle de Pippo Delbono chante l’amour sans limite Créé…
A la Maison Jean Vilar, des premières aux dernières années du Festival Après deux ans…
A l’Institut Culturel italien de Paris, une exposition invite à la découverte de la région…