Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
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Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
Read More →Au Théâtre de l’Odéon, le vaudeville de Georges Feydeau mis en scène par Stanislas Nordey…
Read More →Au Théâtre du Rond-Point, le dernier spectacle de Martin Zimmermann Au début, tout est…
Read More →Au Musée d’Orsay, en marge de l’exposition L’art est dans la rue, un concert…
Read More →Pièces des débuts de Tchekhov, qualifiées de « plaisanteries » par l’auteur, elles ont pour personnages des petits propriétaires terriens. L’argent, la moisson, sont au centre des enjeux et des préoccupations. Dans La demande en mariage, le prétendant ne supportant pas de voir sa future famille s’arroger la propriété d’un pré, ne parvient pas à faire sa demande. L’argent est encore présent dans L’ours qui voit un créancier s’installer chez une jeune veuve en attendant de recouvrer son dû.
Read More →Au Théâtre de la Porte Saint-Martin, la mise en scène par Alain Françon de…
Read More →A La Scala, Marie Torreton fait entendre la voix de Charlotte Delbo et la…
Read More →Dans un théâtre performatif énergique et puissant, Julie Berès met à mal le modèle masculin.…
Read More →A l’Athénée, Valérie Lesort et les Frivolités parisiennes donnent un coup de jeune à…
Read More →Au Théâtre de la Cité Internationale, Cécile Feuillet et la compagnie Marée Basse embarquent sur…
Définie par son auteur, Tennessee Williams, comme une « pièce de la mémoire », La ménagerie de verre est largement autobiographique, qui s’inspire de son histoire familiale dans les années 30 et témoigne de son amour pour sa sœur. Ecrite en 1944, elle marqua les débuts de sa carrière. Tout se passe dans la mémoire, donc. Le narrateur présente « la vérité sous la forme séduisante d’une illusion » et remonte le cours du passé. De la pièce (traduction d’Isabelle Famchon), Ivo van Hove retient essentiellement son réalisme, et la réduit au prosaïsme des situations et des personnages.
La pièce mise en scène par Johanna Boyé, découverte lors du Festival off d’Avignon 2019,…
Au Poche Montparnasse, Patrick Sommier compose un spectacle intimiste à partir de nouvelles de Tchekhov Patrick Sommier connaît bien le théâtre russe pour avoir travaillé avec Lev Dodine (qu’il a fait découvrir…
La biennale de la création contemporaine en Val-de-Marne débute le 8 novembre Tous les deux…
La dernière création de Bartabas emporte vers la terre irlandaise au son de ballades ancestrales…
Au Mouffetard, Claire Dancoisne donne une carapace au héros de La Métamorphose Labellisé depuis peu…
Au Petit Saint-Martin, Catherine Hiegel donne une leçon de savoir-vivre revue par Jean-Luc Lagarce Quand…
Jean-Yves Ruf fait à nouveau entendre la parole d’Antonio Tarantino, avec Paul Minthe C’est un…
Comme un roman-photo avec ses teintes chromo, un jeu qui fleure parfois l’amateurisme et donne un côté naïf, une fraîcheur au mélo, un rythme alangui, le spectacle de Caroline Guiela Nguyen a tout pour flatter l’œil et l’oreille. Il fait beaucoup plus que cela. Il envoie un direct au cœur par l’humanité profonde de ses thèmes essentiels : l’exil, le déracinement, la peur du retour, l’oubli de la langue maternelle, l’incompréhension entre les générations.
A destination du jeune public, la création de Johanny Bert et Yann Raballand révèle des…