Après trois ans d’absence à Paris, le Slava’s Snowshow est de retour au Trianon…
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La dernière création de Joël Pommerat inaugure le nouveau Théâtre des Amandiers Après avoir adapté…
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Au programme de ce dernier opus, en complicité avec Gérard Rauber, un cocktail éclectique de textes et de mélodies parfois oubliés ou méconnus. Accompagnée au piano par Damien Nédonchelle, fidèle partenaire à part entière dans la réussite du récital, la chanteuse alterne les couleurs, du classique à des textes ou airs plus légers, de la fantaisie à la tendresse, de l’humour à la mélancolie. Tout est parfaitement maitrisé dans ce concert aux faux semblants d’improvisation.
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Au Petit Odéon, Marie-José Malis présente trois Pièces élémentaires C’est un petit salon situé…
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Au Théâtre de La Michodière, Michel Fau met en scène une comédie piquante de…
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Marie-Sophie Ferdane, à la fois elle-même et dans la peau de Barbara, à l’affiche…
Read More →A partir des 1 300 pièces issues du fonds des textiles de la grande créatrice Lee Young-hee (1936-2018), le Musée lui consacre une rétrospective retraçant le parcours de cette ambassadrice du hanbok, le costume traditionnel de la Corée, composé d’une veste associée à une jupe pour les femmes ou un pantalon pour les hommes. Son travail de « recréation » poursuit un double objectif de beauté et de fidélité historique dans le choix des matériaux, des techniques, couleurs et motifs.
Entre 1987 et 1989, après le succès remporté par L’Amant, l’écrivain a accordé une série d’interviews à Leopoldina Pallotta della Torre, journaliste à La Stampa. Publié en langue italienne, ce dialogue avait disparu avant d’être traduit par René de Ceccatty et édité en français il y a quelques années. Au cours de ces entretiens, Duras se livre longuement sur sa vie, son rapport à la politique, à l’écriture, son œuvre, ses amours, son addiction à l’alcool. En étroite connivence, Fanny Ardant se glisse dans le personnage, laisse passer un goût de la liberté, un amour de la vie concrète, une sensualité, une impertinence vivifiante,
Ecrite et mise en scène par Christine Montalbetti pour cinq acteurs de la troupe –Claude Mathieu, Anna Cervinka, Hervé Pierre, Bakary Sangaré et Pierre-Louis Calixte-, cette Conférence des objets fait entendre les voix intérieures de ces objets, utilitaires ou décoratifs, qui accompagnent notre quotidien, leur donnent des sentiments humains. Souvent ignorés, méprisés, oubliés, que font-ils dès que nous avons le dos tourné ?
Homme obsédé de jalousie (Fou ?) couple négociant ses rapports conjugaux (Au bord du lit), le désir, l’amour, le poids des conventions, circulent tout au long du moment judicieusement composé par Marie-Louise Bischofberger sur un choix de nouvelles de Guy de Maupassant.La clarté du style de Maupassant, son écriture au service d’instants de vie, teintés de noirceur, souvent cruels, durs, parfois ironiques, ressortent avec une acuité singulière dans cette atmosphère de café, la puissance et le secret des récits y trouvant un nouvel éclat.
Dans la scénographie d’Eric Ruf, et avec les costumes de Christian Lacroix, le succès était au rendez-vous. Le spectacle, drôle et raffiné, léger et élégant, brillait de tous ses charmes, avec des interprètes alliant les talents de chanteurs et de comédiens, sous la direction musicale de Louis Langrée
Trois femmes, trois générations, trois caractères, la pièce de Catherine Anne entremêle ces destins pour mieux pointer les incontournables déterminismes sociaux et aussi les problèmes de précarité, l’isolement familial. Trois femmes (L’échappée) tisse les rapports entre ces trois destins. En scènes brèves, la comédie déroule l’évolution des liens qui se nouent, se transforment, installe un suspense sur un ton enlevé et allègre malgré le sérieux du sujet.
Conçu par Laurence Campet, Olivia Kryger et René Loyon, le récit conté sur scène s’attache à la seule année 1933, celle où Hitler arrive au pouvoir. Et pourtant, son parti n’a recueilli que 44 % des voix. Haffner retrace la vie quotidienne de ces années-là, quand peu à peu, insidieusement, s’installent la crédulité, la peur, la lâcheté, la délation, les disparitions et les persécutions contre les juifs
Cette forme musicale virtuose a inspiré à Mourad Merzouki un spectacle qui fait la part belle au mélange des genres et à la rencontre improbable d’univers aussi différents que le hip-hop et la musique baroque. La folie habite le plateau et l’envahit, soigneusement orchestrée cependant. Franck-Emmanuel Comte, directeur artistique du Concert de l’Hostel Dieu à Lyon, spécialisé dans le répertoire du XVIIIe siècle, a sélectionné un choix d’airs populaires, de mélodies italiennes et sud-américaines, de tarentelles des XVIIe et XVIIIe siècles, avec pour fil conducteur des airs de musique baroque rythmant les différents morceaux.
Au Vieux-Colombier, la réjouissante comédie de Marivaux est à nouveau à l’affiche. Jamais jouée par…
En cette vingt-cinquième année d’existence de la revue Ubu, sa rédactrice en chef Chantal Boiron a choisi d’interroger la réalité au théâtre et affiche, en couverture, le spectacle de Milo Rau, Oreste à Mossoul, l’exemple même du réel reconstruit sur un plateau.
Après Je disparais, Tage Unter et Rien de moi, Stéphane Braunschweig a traduit (avec Astrid Schenka) et met en scène Nous pour un moment, passionnante et envoûtante pièce. D’une subtilité saisissante, sa scénographie se fond dans le texte dont l’écriture et la construction procèdent par glissements des relations, des personnages, des rôles, en totale complicité avec une œuvre qui « semble épouser la précarité et l’incertitude de nos vies ».
La comédie est une allégorie : mettant en scène des tisserands exécutant les modèles des dessinateurs, elle rend hommage aux comédiens interprétant les oeuvres des auteurs. Goldoni y fait vivre toute une petite société d’artisans : tisserands, calandreurs, dessinateurs, apprentis, marchands,,… où règne le savoir-faire, à l’égal de l’artisanat théâtral, où le travail de chacun s’appuie sur celui de tous. Clément Hervieu-Léger a choisi l’excellente et sensible traduction de Myriam Tanant et Jean-Claude Penchenat (1), qui est à l’origine de la création en France de la pièce avec le Théâtre du Campagnol en novembre 1990.
L’adresse, 21 rue des Sources, est celle où Philippe Minyana a passé son enfance, une grande maison de Franche-Comté qui abritait aussi une épicerie. La pièce évoque les aïeux et signe, en creux, le portrait de sa mère disparue. La simplicité de son écriture s’accorde au ton faussement décontracté du jeu des comédiens. Bridant la nostalgie, avec un regard d’entomologiste, de la distance et pas mal d’humour, il fait la part belle à tous les fantômes, ceux de la vie réelle et ceux du théâtre.
C’est l’ultime édition du Festival dans les murs historiques du Théâtre Ouvert, Cité Véron. Inaugurée en 1980 par Lucien et Micheline Attoun, ses fondateurs, la Cité Véron fermera ensuite définitivement ses portes dans le lieu historique mais continuera à accompagner la découverte des auteurs contemporains dans les murs de l’ancien TEP, avenue Gambetta.
Parfaitement équilibré, le spectacle est subtilement dosé et rythmé, drôle, poétique, là un moment chanté, ici un sketch réapproprié, ou encore des extraits sonores de Radioscopie comme en contrepoint, et l’apparition d’une marionnette de clown blanc. Du chien qui parle (Mon chien, c’est quelqu’un) à l’oie qui oit (Ouï dire), à l’interprétation de La truite jouée sur des verres remplis de whisky, Antoine Sahler, pianiste et complice affûté, accompagne François Morel et lui donne la réplique.