Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
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Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
Read More →Au Théâtre de l’Odéon, le vaudeville de Georges Feydeau mis en scène par Stanislas Nordey…
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Read More →Au Musée d’Orsay, en marge de l’exposition L’art est dans la rue, un concert…
Read More →Pièces des débuts de Tchekhov, qualifiées de « plaisanteries » par l’auteur, elles ont pour personnages des petits propriétaires terriens. L’argent, la moisson, sont au centre des enjeux et des préoccupations. Dans La demande en mariage, le prétendant ne supportant pas de voir sa future famille s’arroger la propriété d’un pré, ne parvient pas à faire sa demande. L’argent est encore présent dans L’ours qui voit un créancier s’installer chez une jeune veuve en attendant de recouvrer son dû.
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Read More →A La Scala, Marie Torreton fait entendre la voix de Charlotte Delbo et la…
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Read More →le Printemps des Poètes est attendu chaque année par les amoureux des lettres comme un rendez-vous essentiel. La beauté, thème retenu pour célébrer ses vingt ans, est illustrée par Enki Bilal, artiste visionnaire, qui a signé l’affiche de cette édition, placée sous le parrainage de Rachida Brakni. « La poésie est la seule valeur marchande qui ne se dévalorise pas. C’est la seule nourriture dont l’homme ait vraiment besoin ». Ainsi l’a définie Jean Cocteau
Proposé par la Plateforme 2 Pôles Cirque en Normandie, la Brèche à Cherbourg et le Cirque-Théâtre d’Elbeuf, le festival Spring débutera le 1er mars. Quatorze créations sont à l’affiche de cette nouvelle édition qui marque les dix ans de la manifestation. Les femmes y sont à l’honneur, avec deux portraits d’artistes consacrés à Raphaëlle Boitel de la compagnie L’Oublié(e) et à Fanny Soriano, compagnie Libertivore,
Comme celui de l’Enéide, le personnage de Melquiot s’appelle Enée et entame un périple avec son père, Roch, atteint d’un cancer. Enée décide de l’emmener loin de la cité, dans un far-west accessible : le Portugal. Pour cela, il a réuni auprès de leurs amis l’argent nécessaire au voyage. Celui-ci ne se déroulera pas comme attendu. Pour Enée, il sera de l’ordre initiatique.
Le livre de Sorj Chalandon (prix Goncourt des lycéens 2013) inspire de nombreux metteurs en scène, désireux de faire vivre ce quatrième mur du théâtre, celui, imaginaire, formé par le public. La fiction du roman s’inscrit dans une réalité du terrain à laquelle l’écrivain a été confronté quand il était journaliste, envoyé spécial pendant la guerre au Liban. Son écriture est claire, simple et précise,
Devant un mur de papier vibrant au son de percussions, la danseuse déploie sa maitrise parfaite de l’art ancestral du kuchipudi, danse traditionnelle indienne. Sa silhouette s’inscrit dans l’espace, les bras dessinent des arabesques,
La réunion a lieu à Maurice, c’est le dernier round des négociations, l’atmosphère est tendue (« Il n’y a pas de plan B car il n’y a pas de planète B »), des accords doivent être trouvés pour établir un protocole. Les huit experts en présence pèsent chaque mot, chaque virgule.
La langue de Kelly est vivante, percutante, elle dit clairement les choses, sans détour, franchement, crûment, et la construction du récit est très habile. Constance Dollé en assume et négocie brillamment les ruptures de style. Peu à peu, insidieusement, on sent planer l’ombre d’un cauchemar, la probabilité d’une horreur. Et elle arrive.
L’adaptation par Nicolas Briançon de la version scénique du roman réalisée par Giles Havergal est une réussite absolue. Il lui suffit de représenter le flanc d’un compartiment de train en carton-pâte, sur les fenêtres duquel s’afficheront, au fil des déplacements, des photos de paysages, de villes… Et le voyage peut commencer, sous la houlette de quatre fringants acteurs,
Benjamin Lazar s’empare de ces Récits de la chambre obscure, ainsi qu’il les nomme, et tisse sur cette belle matière un spectacle baroque à sa manière qui redonne tout son éclat à l’écriture de Marguerite de Navarre, éclatante de rigueur, de classicisme et de poésie.
Sami Frey fait délice de toutes les malices du texte, ciselant délicatement le style précis, ses pleins et déliés. Il interprète véritablement le récit et donne une existence à cette écriture claire.
Ecrite en 1613, la pièce est aussi célèbre en Espagne que Les Femmes savantes (écrite plus tard) en France. Ecrivain prolifique du Siècle d’or espagnol, Lope de Vega y fait preuve de modernité en questionnant la place de la femme et en proposant une réflexion sur la définition de l’intelligence.
On retrouve dans cette nouvelle pièce de l’auteur de Momo mise en scène par Stéphane Hillel, le climat de ses comédies précédentes : la mauvaise conscience, le cynisme de personnages pas sympathiques enfermés dans leur confort.
Pour faire de ce récit et de cette quête modianesque un spectacle, les deux amis de la compagnie La Bande passante ne manquent pas d’idées et de ressources, à commencer par l’utilisation de la vidéo. Comme ils réaliseraient un documentaire en direct, on assiste à leur enquête-spectacle en train de se faire
Le grand plateau de la Salle Renaud-Barrault est entièrement habité par l’esprit du poète. L’humaniste Prévert est là, comme l’anticléricaliste, et l’anarchiste n’est pas oublié. Jeux de mots, histoires de rien, bouts de vie dérisoires, tout se mêle dans ce spectacle fluide, riche, généreux et libre comme l’était celui qui l’a inspiré et qu’il fait rudement bon entendre aujourd’hui.
Le temps d’un week-end, L’Envers du décor invite à une redécouverte du Palais de la Porte Dorée à travers les interventions de jeunes artistes. Des concerts, des performances, des parcours sonores, des installations et une exposition, pour vivre le Palais autrement le temps d’un week-end (gratuit)