Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
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Reprise de l’adaptation et de la mise en scène par Emmanuel Noblet du…
Read More →Au Théâtre de l’Odéon, le vaudeville de Georges Feydeau mis en scène par Stanislas Nordey…
Read More →Au Théâtre du Rond-Point, le dernier spectacle de Martin Zimmermann Au début, tout est…
Read More →Au Musée d’Orsay, en marge de l’exposition L’art est dans la rue, un concert…
Read More →Pièces des débuts de Tchekhov, qualifiées de « plaisanteries » par l’auteur, elles ont pour personnages des petits propriétaires terriens. L’argent, la moisson, sont au centre des enjeux et des préoccupations. Dans La demande en mariage, le prétendant ne supportant pas de voir sa future famille s’arroger la propriété d’un pré, ne parvient pas à faire sa demande. L’argent est encore présent dans L’ours qui voit un créancier s’installer chez une jeune veuve en attendant de recouvrer son dû.
Read More →Au Théâtre de la Porte Saint-Martin, la mise en scène par Alain Françon de…
Read More →A La Scala, Marie Torreton fait entendre la voix de Charlotte Delbo et la…
Read More →Dans un théâtre performatif énergique et puissant, Julie Berès met à mal le modèle masculin.…
Read More →A l’Athénée, Valérie Lesort et les Frivolités parisiennes donnent un coup de jeune à…
Read More →Tous acteurs, les Bâtards dorés écrivent et mettent en scène collectivement. Leur spectacle Méduse a obtenu le prix du jury et le prix du public du Festival Impatience 2017 qui programme des jeunes compagnies. Inspiré du Naufrage de la Méduse, un témoignage écrit par deux rescapés de la tragédie au début du XIXe siècle, Méduse prend pour matière première leur récit, mais aussi des textes plus contemporains comme Ode maritime de Pessoa.
Les deux frères Ben Aïm poursuivent en binôme leur cheminement créatif , jalonné de collaborations avec d’autres artistes. Physique et prospective, leur écriture chorégraphique s’élabore au croisement de plusieurs disciplines et procède d’un travail de terrain en profondeur sur les lieux dans lesquels elle se déploie. Arise, impromptu dansé, interprété avec Louis Gillard, est portée par la composition musicale de Piers Faccini,
A Essoyes, un parcours-découverte conduit de l’exposition permanente à l’Espace des Renoir au jardin, puis à la maison familiale et à l’atelier du peintre. D’autres nombreuses manifestations sont au programme du centenaire de la mort de l’artiste un peu partout en France, des bords de Seine à Cagnes-sur-mer. Le 7 avril se déroulera une marche gourmande des impressionnistes, de Chatou à la maison Fournaise et, au fil du printemps, d’autres animations en extérieur
A la mise en scène, Michel Fau joue à fond la carte du kitch élégant, dès le premier acte qui voit les mariés et la noce sur un gâteau géant aux couleurs pistache et fraise. Au fil des tableaux, les décors se découvrent comme autant de pâtisseries aux couleurs saturées. Emmanuel Charles fait se succéder des toiles peintes jouant avec la profondeur et sur lesquelles s’inscrivent les éblouissants costumes de Christian Lacroix, inspirés de l’époque,
Et voici sur cette même scène que se joue maintenant une des pièces de Lagarce, l’ultime, achevée une semaine avant sa mort. Il y aborde un thème récurrent dans son œuvre : le retour du fils dans sa famille pour annoncer sa mort. C’est l’histoire de ce voyage, celui d’un jeune homme à la rencontre de son passé. Il va mourir et parce qu’on « ne peut pas mourir en laissant tant de choses incomprises derrière soi », il revient parmi les siens, dans la maison qu’il a quittée, fuyant « cette ville-là ». Il veut dire sa mort prochain
l’édition 2019 est la véritable première édition du Printemps de la danse arabe, créé à l’initiative de l’Institut du monde arabe. Le temps d’un vrai printemps, du 22 mars au 28 juin, l’édition 2019 accueille des artistes venus d’Egypte, de Syrie, de Palestine, du Maroc, du Liban, de Tunisie et des Comores, à travers des spectacles et une plate-forme de workshops, une résidence chorégraphique, du cinéma
Après la réouverture avec Peau d’âne, Jean-Luc Choplin, directeur du Théâtre Marigny, a tenu à mettre cette œuvre emblématique du genre au programme. Les personnages de Damon Runyon sont d’une époque révolue : dans une Amérique où règne encore la prohibition, un groupe de parieurs et joueurs à la recherche de tripots clandestins pour échapper au policier, rencontre un groupe de missionnaires dévouées au salut des âmes.
C’est un texte de Henry Miller que l’on n’attendait pas, adapté pour la première fois au théâtre. Pour l’écrivain américain, c’est « sans conteste l’histoire la plus étrange que j’aie écrite à ce jour ». Le clown est un personnage cher à l’écrivain américain qui voit en lui « un poète en action ». Celui dont il raconte l’histoire est le célèbre Auguste qui chaque soir, après la représentation, rêve à la lune au pied d’une échelle.
la petite salle de La Huchette s’apprête à fêter sa 19 000ème représentation des spectacles de Ionesco dans les mises en scène originelles de Nicolas Bataille et Marcel Cuvelier. Depuis 62 ans, La Huchette porte haut les couleurs du maitre de l’Absurde dans leurs mises en scène en mouvement perpétuel grâce aux dizaines de comédiens sociétaires qui les animent avec une passion toujours intacte, les interprètes historiques passant régulièrement le relais à de nouvelles recrues.
L’œuvre de Jacqueline Duhême est indissociable de sa vie personnelle, riche en amitiés, en curiosité. Illustratrice de livres pour enfants (Grain d’aile d’Eluard, L’enfant qui attendait un train de d’Ormesson,…), peintre, aquarelliste, elle fut aussi journaliste. Pour Elle, elle sera la première dessinatrice-reporter : en 1961, elle accompagne Jackie Kennedy en Inde, en tire un livre,
C’est sous l’impulsion de Stanislas Nordey que Édouard Louis (En finir avec Eddy belle gueule) a écrit Qui a tué mon père, mis en scène et joué par le directeur du TNS. Le rideau se lève sur l’espace ainsi décrit par l’auteur, vaste et vide, cerné par le triptyque photographique en noir et blanc d’un univers pavillonnaire. L’imposante scénographie d’Emmanuel Clolus laisse à la fois l’espace ouvert et clos, dessiné par les lumières de Stéphanie Daniel. Assis à une table, un fils est face à son père.
André Markowicz relève le défi de traduire, ou retraduire, une trentaine de pièces d’une période très riche du théâtre russe, de 1900 à 1915. Parce qu’il a besoin pour cela de les entendre, d’être confronté aux voix des acteurs, il a travaillé avec de jeunes acteurs et propose ainsi des lectures publiques des textes auxquels ils sont parvenus.
La correspondance commence le 14 janvier. Le comédien encourage son ami, l’épaule, mais celui-ci le reçoit-il seulement ? Disert, il parle de lui en même temps qu’il parle de l’autre, met en parallèle leurs aventures solitaires, la scène et la mer. Le second ne communique que rarement. Jusqu’à… l’abandon de la course, le renoncement. De cette correspondance est né un livre, et puis ce spectacle…
Après l’Oratorio d’Aurélia et Murmures des murs, voici la dernière création de Victoria Chaplin et de sa fille Aurélia Thierrée. En matière d’ingéniosité, de poésie, le duo est virtuose et Aurélia se fond dans l’univers imaginé par Victoria. Tout démarre dans une salle d’attente et par un jeu de sièges à bascule. Aurélia s’approche d’un portrait, un peu trop près… Soudainement aspirée, elle disparaît dans le mur. Comme Alice traversant le miroir, la jeune femme est transportée dans une autre époque.
le festival explore la richesse des techniques marionnettiques : fil, gaine, bunraku, tiges, masques, papier, ombre, figurines, ustensiles en tous genres. Il y en a pour tous les âges, tous les goûts. La nouvelle édition de MARTO met en lumière les questions qui nous traversent dans nos histoires quotidiennes et, plus largement, dans notre humanité