Au Rive Gauche, Johanna Boyé met en scène le roman à succès de Karine Tuil avec sept comédiens aux multiples visages Le roman compte pas loin de 500 pages… autant dire que…

Au Rive Gauche, Johanna Boyé met en scène le roman à succès de Karine Tuil avec sept comédiens aux multiples visages Le roman compte pas loin de 500 pages… autant dire que…
Au Rond-Point, David Murgia interprète le deuxième volet de la fable politique d’Ascanio Celestini. Une performance haletante Après Laïka (déjà au Rond-Point en octobre 2018), Ascanio Celestini poursuit son récit des aventures…
Au Domaine de Chaumont-sur-Loire, la quatrième édition de la manifestation d’art floral occupe le château jusqu’au 11 octobre Centre culturel de rencontre, Centre d’Arts et de Nature depuis 2008, le Domaine de…
Créé au dernier Festival d’Avignon, le spectacle d’Igor Mendjisky est en tournée. Un conte pour tous les âges Une chambre d’enfants comme toutes les chambres d’enfants : pas rangée, et encombrée de jouets.…
A la Colline, Anouk Grinberg fait entendre la voix de ceux que la société a rejetés et internés Au départ, il y a eu la collecte de textes d’art brut et non…
Au Théatre de l’Atelier, trois grands comédiens dans la pièce d’une auteure britannique à découvrir Lucy Kirkwood ? Le nom de cette auteure britannique est peu connu en France. Créée à Londres au…
C’est tout le propos de la pièce de Brecht, écrite en exil au Danemark en 1938 et retravaillée jusqu’en 1954, alors que l’écrivain, émigré à Hollywood en 1941, avait rejoint l’Allemagne. Pour Eric Ruf qui la met en scène, la pièce pose l’équation entre le refus de l’obscurantisme religieux et le doute fondamental posé sur la finitude de la science. De quoi interroger notre présent qui multiplie les inventions et les fake news.
Jerémy Lopez, de la Comédie-Française, crée une pièce de Stéphane Olivié Bisson en hommage à un pionnier du cinéma, Max Linder Il a laissé son nom à une salle de cinéma sur…
« Tu as toujours été morte ». Les mots s’adressent à celle qu’Annie Ernaux n’a jamais connue : une fille née avant elle, morte à six ans de la diphtérie, deux ans avant sa naissance. Sa sœur, donc, dont elle n’a découvert l’existence qu’incidemment, en entendant une conversation de sa mère, et ces mots : « Elle était plus gentille que celle-là » qui s’inscriront dans sa mémoire et marqueront sa destinée. Assise à une table-bureau, Marianne Basler s’adresse à cette sœur. La lettre est difficile à écrire, elle traque le mot juste, froisse les feuilles de papier quand elle n’y arrive pas.