Le peintre John Singer Sargent était aussi musicien A l’occasion de l’exposition consacrée à…
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Au Petit Montparnasse, une rencontre improbable au cœur d’une tendre comédie Quel meilleur lieu…
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Au Théâtre de La Michodière, Michel Fau met en scène une comédie piquante de…
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Marie-Sophie Ferdane, à la fois elle-même et dans la peau de Barbara, à l’affiche…
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Au Théâtre de la Ville, dans le cadre du Festival d’Automne, la dernière création…
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Le Musée du Louvre accueille une lecture-spectacle de Benjamin Lazar autour de la personnalité…
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Aux Bouffes du Nord, une pièce de Jean-Luc Lagarce mise en scène par Clément Hervieu-Léger…
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Le Théâtre du Rond-Point accueille Israel Galvan à l’occasion du 20ème anniversaire de son…
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Au Théâtre 14, Véronique Vella compose un récital à sa façon, en complicité avec…
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La dernière création de Philippe Minyana réveille les fantômes du passé Deux comédiens, un…
Read More →Depuis son Molière de la Révélation en 1993 pour Les enfants du silence, la comédienne a mûri, gagné en assurance, elle ose l’impertinence, elle peut tout. Même danser et chanter, en rythme avec la musique, alors qu’elle n’entend rien, et ne parle pas davantage.
Réunis pour la première fois sur scène, Pierre Arditi et Jacques Weber jouent Molière sous…
Pour sa première mise en scène à la Comédie-Française, Thomas Ostermeier fait de la comédie de Shakespeare un joyeux carnaval « ou Tout ce que vous voulez » : ce n’est pas anodin si le…
Derrière Kafka, Lupa se fait lanceur d’alerte sur la fragilité de nos démocraties. Court en filigrane, tout au long de la pièce, la corruption des fonctionnaires, l’absurdité des lois que l’on modifie dans le seul but d’obéir à la règle du changement, sans se soucier de l’individu.
Après Lettre d’une inconnue, Christophe Lidon retrouve le « monde d’hier » de Stefan Zweig avec La légende d’une vie, pièce méconnue en France de l’auteur autrichien, écrite après la Première Guerre mondiale. Où l’on retrouve ses thèmes chers comme les clivages sociaux, le culte du secret, la constitution de l’identité, l’héritage spirituel…
Spectacle choc du dernier Festival d’Avignon, une confrontation entre la représentation théâtrale et le réel. Dans cette première partie de la série « Histoire(s) du théâtre », Milo Rau, metteur en scène et directeur du Théâtre national de Gand, braque un coup de projecteur puissant et dérangeant sur la barbarie humaine, à travers la reconstitution d’un fait divers atroce : la torture et le meurtre de Ihsane Jarfi, un jeune homosexuel, en 2012, à Liège.
L’histoire d’Infidèles est banale : Marianne, comédienne, épouse de Marcus, un chef d’orchestre célèbre, entame une liaison avec David, un ami du couple, et délaisse sa fille Isabelle. Jusqu’à ce que le mot « divorce » soit prononcé. Ce pourrait être une comédie, un vaudeville, un drame réaliste… Mais non, pas avec les tg Stan sur le plateau qui vont mettre de la vie dans le théâtre et du théâtre dans ce qu’ils jouent comme étant la vie. Bergman puisait son inspiration dans sa propre vie, les interprètes jouent avec les frontières entre vie et théâtre.
Quels sont-ils, ces « si tendres liens » ? Ceux qui unissent une mère et sa fille et ne s’effacent jamais. Loleh Bellon construit sa pièce comme une boucle.
Le circassien Yoann Bourgeois a ouvert la programmation avec un spectacle spécialement conçu pour l’occasion et intitulé Scala, qui joue avec la mécanique des objets, « une pièce fragile courant à toute allure le long d’un fil continu ».
Fidèles au rendez-vous du Festival d’automne, les comédiens du tg Stan ont, dès le 10 septembre, inauguré la 47ème édition, avec Infidèles, un scénario d’Ingmar Bergman, joué au Théâtre de la Bastille (jusqu’au 28 septembre).
Après une première étape de l’exposition à Giverny, la Fondation de l’Hermitage, à Lausanne, ouvre ses portes au fauve Henri Manguin.
Partir à la conquête de toutes les dimensions, c’est l’ambition des artistes de l’édition 2018 du Festival Paris l’été. Au programme, du théâtre, du cirque, de la danse, des événements…
Pour Lassaâd Metoui, « l’ivresse est vitale », sans elle pas de création possible. C’est ainsi que l’exposition qui lui est consacrée s’intitule Le pinceau ivre. Pour le reste, il ne boit que de l’eau.
Jeanne Moreau n’avait pas vingt ans quand elle a fait sa première apparition au Festival d’Avignon, l’année de sa création, en 1947, et elle a accompagné son histoire – Le Cid, Le prince de Hombourg (1951), Lorenzaccio (1952), La Célestine (1989)…




























