Les barrières de la langue à l’affiche de la troisième édition du festival de l’Atelier des artistes en exil.
Parce que changer de langue met à l’épreuve et modifie le travail des artistes en exil, le festival Visions d’exil, pour sa troisième édition, pose la question de la langue et la met en relation avec la création artistique envisagée sous ses formes les plus diverses. Venus de tous les horizons, les artistes invités sont nombreux, et la programmation diversifiée et riche. Installations, expositions, performances, défilé, concerts, spectacles de théâtre et danse, contes pour le jeune public, films, rencontres, débats, soirées littéraires, production graphique ou ateliers participatifs, bal, tous les événements (à l’exception du spectacle L’enfant d’éléphant et autres histoires comme ça) sont gratuits. Plusieurs propositions sont à l’affiche de la soirée d’inauguration du 1er novembre, au Palais de la Porte Dorée. Le festival se déroule également chez les autres lieux partenaires : le Musée Eugène-Delacroix, la Cité internationale des Arts-Site de Montmartre, la SACD, la Salle principale et la Dynamo de Banlieues Bleues à Pantin, jusqu’à un prolongement, D’ailleurs ici, au Lieu d’Art et d’Action Contemporaine à Dunkerque, le 1er décembre,
. Festival Visions d’exil, atelier des artistes en exil, 1 place Mazas, Paris 12e. Tél. 01 53 41 65 96. www.visionsexil.aa-e-.org. Du 1er au 30 novembre.