Les histoires se succèdent, de l’anniversaire au chroniqueur en panne d’inspiration jusqu’à la poursuite métaphysique du K, dans une tension qui va crescendo. Commencé sur un ton presque léger, le spectacle se charge d’intensité, de poésie, d’étrangeté, voire d’inquiétude au fil des textes, portés par le jeu exceptionnel de Grégori Baquet.